Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Ma fenêtre
Archives
16 juin 2010

Je suis malheureux

Sans_titreC'est ce que je dis souvent lorsque j'ai un peu trop bu.
C'est ce que je viens de dire ce soir à un très bon ami avec qui j'ai passé une délicieuse soirée.
C'est ce que je viens d'envoyer comme texto à une copine.

Je suis malheureux.

Pourquoi cette phrase si négative alors que...
- je viens d'avoir une promotion dans mon boulot
- je n'ai jamais été aussi mince qu'aujourd'ui
- globalement, je n'ai jamais été aussi bien dans mes baskets
- j'ai un petit mec qui pense à moi et qui me le dit
- je mange, bois, dors... suffisamment!

J'avoue que l'état alcoolique dans lequel je me trouve actuellement et qui me fait avoir ces pensées tristes me surprend...

Et si ça venait du fait que
- j'ai besoin de tendresse
- j'ai besoin d'amour
- je suis énervé d'avoir dû écourter mon week end à Barcelone pour le boulot
- je suis épuisé
- je m'en veux d'envisager .(d'espérer / de ne vouloir que) de coucher avec un gars que je ne connais pas et qui vient dormir chez moi la semaine prochaine
- ma mère a passé une semaine à me pomper mon énergie.

Je ne me comprends pas. Toujours pas. J'ai besoin d'amour. Plein. Trop.

Publicité
Commentaires
D
DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS ! DES BISOUS !
Ma fenêtre
Publicité
Derniers commentaires
Publicité